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J’ai bénéficié de la grâce immense de Dieu dans la maladie

Une maladie soudaine m’a fait souffrir et m’a plongé dans la dépression

J’ai bénéficié de la grâce immense de Dieu dans la maladie (I)

En 2011, quand j’avais 17 ans et étais inscrit au lycée, je me suis rendu à l’hôpital pour effectuer un examen médical. Une infirmière m’a dit que j’avais contracté l’hépatite B et que je devais rencontrer un médecin immédiatement. A cet instant, J’ai ressenti un bourdonnement soudain dans la tête et j’ai eu l’impression que tout mon sang y montait. J’ai pensé : C’est fini. Ma grand-mère était morte d’un cancer et mon oncle était mort du cancer du foie. Ils se sont éteints après avoir enduré des souffrances atroces. Serait-ce maintenant mon tour ? Mourrai-je également de la même façon ? Cette maladie peut-elle être guérie ? J’ai senti ma main trembler en tenant mon rapport de contrôle. Après, j’ai marché lourdement vers l’étage afin de rencontrer un médecin. Ce dernier m’a dit : « Tu es atteint d’une maladie très grave, alors je ne peux te promettre la guérison. Cependant, si tu ne reçois aucun traitement, elle progressera vers un cancer du foie et à ce stade-là, il sera trop tard pour que tu sois traité. » Après l’avoir écouté, j’étais même plus inquiet : le médecin ne peut même pas donner l’assurance que cette maladie puisse être guérie. Je ne sais vraiment pas comment y faire face. A ce moment-là, j’étais confus au sujet de mon avenir comme-ci la moitié du ciel s’était effondrée.

Sur le chemin du retour à la maison, j’ai senti que je titubais et je n’ai pu empêcher mes larmes de couler. Je m’interrogeais sans cesse : je n’ai que 17 ans et je suis si jeune. Pourquoi moi, pourquoi suis-je atteint par cette maladie ? Pourquoi ne puis-je profiter d’une aussi bonne santé que les autres ? Dans le futur, je ne pourrai exercer autant de métiers que les autres. Que ferai-je ? Pendant cette période, je continuais d’aller à l’école comme d’habitude. Cependant, je n’ai pas osé dire à mes camarades de classe autour de moi que j’étais porteur de cette maladie car j’ai eu peur qu’ils se moquent de moi, qu’ils me marginalisent et me considèrent comme quelqu’un de particulier et d’étrange. Ainsi, j’avais l’habitude de prendre mes repas seul. Chaque fois que je pensais à ma maladie, je pleurais. La pression des études et l’idée envahissante d’être malade m’ont plongé dans une grande dépression. Parfois, je me penchais seul par la fenêtre et je regardais le paysage à l’extérieur en essayant de mettre ainsi fin à la dépression qui rongeait mon cœur.

La foi en Dieu m’a permis de rester fort, courageux et de voir les actions du Seigneur.

Pendant ce temps-là, j’allais constamment vers le Seigneur et je Lui adressais cette prière : « Oh Dieu ! Maintenant, j’ai très peur, j’ai trop mal et je pense que la pression que je ressens est plutôt importante. Seigneur, j’espère vraiment pouvoir me porter mieux et être autant en bonne santé que les autres. Seigneur, je suis très incertain ; je ne sais quelle attitude adopter face à ma maladie ni comment aller de l’avant. Pardon Seigneur, éclaire-moi et guide-moi afin que je comprenne Ta volonté et que je m’affranchisse de cette situation malheureuse. »

Au début, je n’ai pas osé parler de ma maladie à mes frères et sœurs car j’avais peur de la manière dont ils me regarderaient. Pourtant, j’étais extrêmement déprimé parce que je gardais tout ceci pour moi. Plus tard, au cours d’une rencontre, j’ai rassemblé mon courage et je leur en ai parlé. Non seulement ils ne se sont pas moqués de moi, mais ils ont lu quelques extraits de la parole de Dieu pour m’aider et me soutenir, ce à quoi je ne m’attendais guère. Ensuite, une sœur a partagé avec moi un extrait de cette parole : « Quand la maladie frappe, c’est dû à l’amour de Dieu et, à coup sûr, Ses intentions bienveillantes sont derrière cela. Même si ton corps peut endurer quelque souffrance, ne cultive aucune idée de Satan. Loue Dieu au milieu de la maladie et apprécie Dieu au milieu de ta louange. Ne te décourage pas face à la maladie, continue à chercher encore et encore, ne perds jamais espoir, et Dieu t’illuminera de Sa lumière. À quoi ressemblait la foi de Job ? Dieu Tout-Puissant est un médecin tout-puissant ! Demeurer dans la maladie, c’est être malade, mais demeurer dans l’esprit, c’est être bien. Tant qu’il te restera un dernier souffle, Dieu ne te laissera pas mourir. » « La foi est comme un pont à tronc d’arbre unique : ceux qui se cramponnent totalement à la vie auront du mal à la traverser, mais ceux qui sont prêts à se sacrifier pourront traverser d’un pas assuré et sans inquiétude. Si les hommes nourrissent des pensées timides et craintives, c’est parce que Satan les a dupés, craignant que nous traversions le pont de la foi pour entrer en Dieu. Satan essaye par tous les moyens possibles de nous communiquer ses pensées. Nous devons à tout moment prier pour que Dieu nous illumine de Sa lumière, à tout moment compter sur Dieu pour purger le poison de Satan qui est en nous, pratiquer dans notre esprit à tout moment la manière de nous rapprocher de Dieu, et laisser Dieu dominer tout notre être. »

Une autre sœur s’est patiemment adressée à moi : « Dieu est tout puissant et tout est entre Ses mains. Ce qui adviendra de notre condition physique ne dépend pas du médecin mais de Dieu. Tant que nous faisons vraiment confiance à Dieu et nous tournons vers Lui, je pense qu’Il nous guidera. L’Ancien Testament révèle que Job avait perdu ses enfants et sa richesse, que son corps était recouvert de furoncles douloureux. Confronté à une telle expérience, il est resté pieux. Il ne comprenait certes pas la volonté de Dieu, mais il croyait que Dieu était juste à ses côtés et que tout ce qui avait trait à l’homme ainsi que la vie de celui-ci et sa mort étaient entre les mains de Dieu. En dépit du fait que Job avait des faiblesses, il n’est pas devenu pessimiste ou est resté en retrait. Au contraire, il a constamment prié Dieu dans son cœur et a loué Son saint nom. Enfin, il a témoigné de Dieu en rabaissant de ce fait Satan. Au même moment, il a obtenu l’approbation et les bénédictions de Dieu. Nous devons aussi suivre l’exemple de Job, c’est-à-dire nous présenter devant Dieu assez souvent pour Le prier, Le supplier de nous éclairer, de nous éloigner des tromperies de Satan afin que naisse notre foi sincère en Lui et que nous témoignions de Lui. »

Après avoir écouté l’échange de la sœur, j’étais très ému. Quand j’étais faible et ne percevait point la volonté de Dieu, ll me permettait de la comprendre grâce au soutien et à l’aide de mes frères et sœurs. J’ai vraiment senti que Dieu ne m’avait pas abandonné et que Se tenant près de moi, Il m’accompagnait. Il a dit : « Demeurer dans la maladie, c’est être malade, mais demeurer dans l’esprit, c’est être bien. » Ses paroles m’ont donné la foi. J’étais prêt à suivre l’exemple de Job et lorsque la maladie a surgi, j’ai voulu avoir la foi en Dieu et témoigner de Lui. Après, j’ai remis mon état de santé entre Ses mains pendant que je recevais effectivement un traitement. Qui aurait pensé six mois plus tard, lorsque je me suis rendu à l’hôpital afin de subir un autre examen, le médecin me dirait que je me porte mieux et que le virus était sous contrôle. Après avoir écouté ce dernier, j’étais très excité. J’ai su que Dieu m’apportait ainsi Sa protection et Sa bénédiction. Merci Seigneur !

Quand ma maladie a commencé à s’aggraver, j’étais rongé ces soucis

En 2015, je me suis rendu aux États-Unis pour étudier. Au début, j’ai eu l’impression que tout ce qui s’y trouvait m’était complètement étranger. Heureusement, Dieu m’ayant guidé, je suis rapidement entré en contact avec les frères et sœurs qui se trouvaient dans ce pays et ma vie à l’église a commencé. Ensuite, j’ai souvent lu la parole de Dieu, prêché l’évangile et exécuté des tâches avec mes frères et sœurs. Quelquefois, lorsque les heures de prêche et les heures de cours coïncidaient, sans hésitation, je choisissais de demander un congé afin de remplir ma tâche. Je me disais : les leçons peuvent être rattrapées plus tard, mais bien sûr, je peux bénéficier des bénédictions éternelles si j’accomplis convenablement mon devoir. Je ne peux pas manquer d’une opportunité aussi rare.

Un jour, j’ai remarqué que l’un de mes camarades de classe était de mauvaise humeur. En conversant avec lui, j’ai appris qu’il avait été diagnostiqué chez l’un des membres de sa famille, une hépatite B en phase terminale lors d’un contrôle récent. Après l’avoir écouté, je me suis souvenu que j’étais aussi atteint de cette maladie. Alors, j’ai commencé à m’inquiéter de l’éventualité que ma maladie ne s’aggrave de nouveau. Toutefois, j’ai pensé que je ne m’étais pas senti mal à l’aise depuis longtemps. Cette maladie disparaît-t-elle ? Aussi me suis-je rendu à l’hôpital afin d’être examiné.

Le lendemain, lorsque je suis arrivé à l’hôpital, j’étais très nerveux et je m’interrogeais : au cas où cette maladie persiste et progresse même vers un cancer, que ferai-je ? Ma maladie peut-elle être guérie grâce à la technologie américaine avancée ? Sinon, que ferai-je donc dans le futur ? Certes, je priais Dieu dans mon cœur, en me disant que j’étais prêt à accepter le résultat quel qu’il serait, mais j’ai eu la sensation que mes forces étaient extrêmement limitées pour faire face au pire. Après l’examen de base, le médecin a demandé : « Te sens-tu bien ? » J’ai répondu : « Oui ». Après, il a froncé les sourcils et a dit : « C’est étrange. Si tu te sens bien, pourquoi les battements de ton cœur sont-ils anormaux ? » Ayant entendu ces mots, j’étais très nerveux et mon cœur a médité : « Est-ce le signe prémonitoire que ma maladie s’empirera ? » Sinon, pourquoi les battements de mon cœur ne sont-t-ils pas normaux ? Observant la mine sérieuse du médecin, des hypothèses pessimistes ont bouillonné en moi. Je lui ai demandé pourquoi mon cœur battait anormalement. Il m’a juste répondu qu’il était difficile de donner une réponse précise avant que ne soient délivrés les résultats exacts de l’analyse de mon sang.

Au fur et à mesure que s’approchait le jour du retrait des résultats d’analyse du sang, j’avais peur et j’étais inquiet. J’avais peur de connaître les résultats et je n’osais pas y faire face. Deux jours plus tard, je suis allé les récupérer. Le médecin m’a dit que j’avais contracté l’hépatite B parce qu’une quantité importante de virus de cette maladie s’était multipliée dans mon corps. Il a ajouté que cette maladie était hautement contagieuse et que je devais recevoir un traitement immédiatement. En suivant ce résultat, je me suis dit : « c’est fini. Pourquoi ma maladie s’aggrave-t-elle ? Se pourrait-il que je ne crois pas en Dieu de manière appropriée ? Si ma maladie s’empire, puis-je continuer à adorer Dieu correctement, à faire mon devoir ? Puis-je continuer à mener une vie pieuse avec mes frères et sœurs ? » De retour à la maison, j’ai senti qu’il m’était particulièrement difficile de me déplacer à bicyclette. Il m’était également impossible d’admirer les beaux arbres et les belles fleurs se trouvant au bord de la route.

Après être arrivé à la maison, les mots « hépatite B » n’arrêtaient pas de sonner dans ma tête. Lorsque j’ai appris sur Internet que quelques victimes de cette maladie s’évanouissaient pendant plusieurs jours avant de mourir, j’ai soudainement pris peur : serai-je également comme eux ? Ma foi n’est-elle pas vaine si je meurs de cette façon ? De plus, toutes ces années passées à exécuter ma tâche n’aboutiront à rien. Cependant, ne l’ayant pas encore accompli avec loyauté, pourrai-je obtenir l’approbation de Dieu ? Si je meurs, irai-je au paradis ou en enfer ? En outre, aucun de mes frères et sœurs autour de moi ne contracte cette maladie, mais pourquoi en suis-je victime ? Je fais pourtant mon devoir aussi bien que les autres. Plus j’y pensais et plus je leur enviais le fait qu’ils pouvaient remplir leurs tâches paisiblement sans être perturbés par la maladie. Après avoir fait un nombre suffisant de bonnes actions, ces derniers pouvaient également être sauvés par Dieu et entrer dans le royaume des cieux. J’ai de nouveau porté un regard sur moi. Je ne savais si je pouvais exécuter ma tâche ou non et faire de bonnes actions dans le futur. Si ma maladie s’empirait réellement, je ne pourrais que regarder mes frères et sœurs bénéficier des grâces du Seigneur ; ainsi étais-je mis à l’écart par Dieu et je me lamentais. A y penser, j’ai commencé à avoir de la rancœur contre Dieu et à me plaindre de Lui dans mon cœur. Plusieurs fois, j’ai involontairement eu des pensées stupides : Dieu ne m’aime-t-il pas ? Dieu ne veut-t-il pas me sauver parce que je suis trop corrompu ? Ai-je fait quelque chose de négatif allant à l’encontre de Son tempérament ? Je ne comprenais pas Sa volonté et je ne savais comment faire face à cette maladie. Je ne savais pas également ce que réservait l’avenir ni ce qui arriverait le lendemain. Plus j’y pensais et plus j’avais mal et j’avais des pensées sombres. Au même moment, je ne pouvais retenir mes larmes. Certes, je continuais à accomplir ma tâche mais mon esprit était extrêmement faible. Je n’avais plus la motivation d’antan et je ne voulais pas manger.

Durant cette période, je ne sais combien de fois je me suis présenté devant Dieu pour prier : « Ô Seigneur ! Maintenant, j’ai extrêmement mal et je suis très faible. J’ai toujours l’impression que Tu me désigneras et m’élimineras parce que j’ai accompli une mauvaise action. Je sais que cette pensée ne s’accorde pas avec Ta volonté mais en réalité je ne sais quelle est Ta volonté. Je ne peux voir le chemin qui se dresse devant moi et je ne sais comment m’y engager. Ô Seigneur, éclaire-moi et guide-moi afin que je puisse comprendre Ta volonté. »

Sous l’éclairage de la Parole de Dieu, j’ai compris sa Volonté

Plus tard, j’ai constaté qu’il est dit dans la Parole de Dieu : « Si nombreux sont ceux qui croient en Moi seulement pour que Je les guérisse. Si nombreux sont ceux qui croient en Moi seulement pour que J’utilise Mes pouvoirs afin de chasser les esprits impurs de leur corps. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour que Je leur confère la paix et la joie. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour Me demander une plus grande richesse matérielle. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour passer cette vie en paix et être sains et saufs dans le monde à venir. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour éviter les souffrances de l’enfer et recevoir les bénédictions du ciel. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour avoir du confort temporaire et qui, pourtant, ne cherchent pas à gagner quoi que ce soit dans le monde à venir. Lorsque J’ai fait descendre Ma fureur sur l’homme et Me suis emparé de toute la joie et de toute la paix qu’il possédait à l’origine, l’homme s’est mis à douter. Quand J’ai fait voir à l’homme la souffrance de l’enfer et repris les bénédictions du ciel, la honte de l’homme s’est transformée en colère. Quand l’homme M’a demandé de le guérir, que Je ne lui ai pas prêté attention et que J’ai ressenti de l’aversion envers lui, il s’est éloigné de Moi pour chercher plutôt la voie de la médecine mauvaise et de la sorcellerie. Quand Je lui ai enlevé tout ce qu’il M’avait demandé, l’homme a disparu sans laisser de traces. Par conséquent, Je dis que l’homme a foi en Moi parce que J’accorde trop de grâce et qu’il y a beaucoup trop à gagner. » « En cela, nous découvrons un problème qui n’a pas été identifié précédemment : la relation de l’homme avec Dieu n’est qu’une affaire d’intérêt personnel. C’est une relation entre un bénéficiaire et un donateur de bénédictions. Pour le dire simplement, c’est semblable à la relation entre employé et employeur. L’employé travaille seulement pour recevoir les récompenses accordées par l’employeur. Dans une telle relation, il n’y a pas d’affection, seulement une transaction ; il n’y est pas question d’aimer ni d’être aimé, seulement de charité et de miséricorde. Il n’y a pas de compréhension, il n’y a que de l’indignation et de la tromperie refoulées. Il n’y a pas d’intimité, seulement un gouffre infranchissable. »

Ces mots de jugement ont fait vibrer les cordes de mon cœur. En me comparant à ces paroles de Dieu, j’ai réalisé ma fausse perspective de la foi. Face à la réalité, j’ai vu que ma foi en Dieu était uniquement pour obtenir la paix, la joie et les bénédictions et éviter les souffrances en cas de problème. Je considérais Dieu comme ma bouée de sauvetage, comme Celui qui pouvait m’accorder des bénédictions. Quand Dieu donnait satisfaction à mes propres désirs, me guérissait de ma maladie et me permettait de profiter de sa grâce, j’étais disposé à me sacrifier avec zèle pour lui ; Mais, quand il ne m’accordait pas la grâce et les bénédictions, je devenais négatif, je me plaignais et je ne comprenais pas les intentions de Dieu. Je me suis rappelé par le passé, bien qu’étudiant, j’étais disposé à faire de mon mieux pour remplir ma mission. Lorsque les heures de cours et de mission étaient incompatibles, j’accordais la priorité à ma mission. La raison, c’était parce que je pensais que bien étudier ne pouvait que me procurer un confort matériel temporaire dans l’avenir, et qu’après avoir bien rempli ma mission, je pouvais jouir des bénédictions éternelles. On ne peut comparer un bon travail à l’obtention de bénédictions éternelles dans le royaume des cieux. Par conséquent, je dois remplir ma mission. Cependant, depuis que j’ai été informé des résultats de mon test sanguin, j’ai tout d’abord pensé à mon destin, me demandant si je pouvais guérir de ma maladie. En voyant que cette maladie a probablement mis ma vie en danger, je me suis demandé si oui ou non Dieu voulait de moi, si oui ou non il allait m’exposer et m’éliminer. Surtout lorsque j’ai constaté que mes frères et sœurs ne souffraient pas de cette maladie, j’ai commencé à me plaindre que Dieu était gentil envers les autres mais pas envers moi et je pensais que Dieu n’était pas juste. En repensant à mon comportement, j’ai vu que ce que la parole révélée de Dieu était bien juste. Depuis que j’ai cru en Dieu, de l’extérieur, j’ai toujours porté le drapeau pour accomplir ma mission mais en réalité, je voulais que Dieu satisfasse mes désirs. Et j’ai travaillé avec ardeur pour remplir ma mission en échange des récompenses et des bénédictions de Dieu. N’est-ce pas signer un contrat avec Dieu ? N’est-ce pas frauder et utiliser Dieu ? Dieu est saint et juste, alors comment pourrait-il me permettre d’entrer dans son royaume, moi qui avait l’intention d’obtenir des bénédictions et de toujours le tromper ? J’ai compris qu’à l’extérieur ce que je rencontrais était la maladie, mais l’intention de Dieu était de révéler et de changer ma mauvaise perspective de la foi, et de me faire abandonner le mauvais chemin. Derrière ma maladie, il y avait le véritable amour de Dieu pour moi. A ce moment, je n’ai plus ressenti la tristesse et la colère du fait de ma maladie. Au contraire, j’étais reconnaissant à Dieu pour sa révélation et son salut.

Quelque soient les bénédictions ou la malchance, adorer Dieu et juste et bien

Après tout, j’ai continué à lire et j’ai découvert un autre passage, « Job n’a pas négocié avec Lui, ni n’a requis ou exigé de Lui. Il louait Son nom du fait de la grande puissance et de l’autorité de Dieu régnant sur toutes choses. Cela ne dépendait pas de bénédictions qu’il avait reçues ou non, ni du fait qu’un désastre l’avait frappé ou non. Il croyait que, que Dieu bénisse les gens ou fasse s’abattre un désastre sur eux, Sa puissance et Son autorité ne changeraient pas. Ainsi, peu importe dans quelles circonstances on se trouve, le nom de Dieu devrait être loué. Si l’homme est béni par Dieu, c’est grâce à Sa souveraineté. Quand le désastre frappe l’homme, c’est aussi du fait de Sa souveraineté. La puissance et l’autorité de Dieu dominent et arrangent tout ce qui concerne l’homme. Les impondérables du sort de l’homme sont la manifestation de Sa puissance et de Son autorité. Quel que soit notre point de vue, le nom de Dieu devrait être loué. C’est ce que Job a expérimenté et appris à connaître au cours de sa vie. » « Ce cœur attendait toujours l’ordre de Dieu, où qu’il soit. Il accueillait tout ce qui lui arrivait, partout et à tout moment. Job n’exigeait rien de Dieu. Il exigeait de lui-même qu’il attende tous les arrangements qui venaient de Lui, les accepte, les affronte et leur obéisse. Job croyait que c’était son devoir et précisément ce que Dieu voulait. […] C’est parce qu’il n’a pas cherché à savoir s’Il le bénirait ou lui causerait un désastre, qu’il savait que tout est contrôlé par Sa main et que l’inquiétude de l’homme était un signe de folie, d’ignorance, d’irrationalité, de doute de Sa souveraineté sur toutes choses et d’un manque de crainte de Lui. »

A partir de ces paroles, j’ai vu que dans le cœur de Job, il croyait que les cieux et la terre, toutes ces choses et tout ce que l’homme possède vient de Dieu ; que vous soyez récompensé ou privé de récompense, que nous obtenions des bénédictions ou que nous soyons maudits, l’identité et le statut de Dieu ne changera jamais et qu’il est juste et bien pour toute créature de croire en Dieu et de l’adorer. Lorsque ses biens ont été volés, que ses enfants ont perdu la vie et qu’il était couvert de furoncles, bien qu’ignorant pourquoi ces choses lui arrivaient, il s’est mis à la place d’une créature et a obéi aux ordres et aux commandements de Dieu sans aucune plainte ou exigences envers Dieu. C’était une représentation de la rationalité de Job. Dieu est le Créateur et je ne suis qu’une créature insignifiante. Ma vie et tout ce que je possède sont venus de Dieu, alors il était naturel pour moi de croire en Dieu et de l’adorer. Je dois me considérer comme une créature et bien accomplir ma mission pour satisfaire Dieu, tout comme les enfants devraient être dévoués à leurs parents. J’ai été profondément corrompu par Satan et je suis indigne de me présenter devant Dieu. Pourtant Dieu n’a pas détourné sa face de moi. Il m’a choisi pour venir en Sa présence et m’a permis d’avoir la chance d’accepter le jugement et le châtiment de la parole de Dieu et de rechercher le salut. Avais-je qualité pour formuler des demandes ou des suppliques à son endroit ? J’étais trop insensé ! Grâce à l’orientation de la parole de Dieu qui a changé la mauvaise perspective de ma foi. J’étais disposé à abandonner mon intention d’obtenir des bénédictions, de me tenir à ma place et d’être une créature consciencieuse et rationnelle. Quel que soit le degré de développement de ma maladie à l’avenir, j’étais prêt à obéir à la souveraineté de Dieu. Tant que Dieu m’a permis de vivre, je l’adorerais et témoignerais afin de satisfaire sa volonté.

Ma santé s’est nettement améliorée et j’ai expérimenté la grâce de Dieu

Après environ un mois, je me suis rendu à l’hôpital pour un contrôle. En chemin, bien que je fusse encore un peu nerveux, je n’étais plus disposé à formuler des demandes extravagantes auprès de Dieu. J’ai continué à prier Dieu et à réfléchir sur sa parole. Ainsi, j’ai senti mon cœur se réjouir et je me suis également senti détendu en faisant du vélo. Une fois les résultats de mon test sanguin connus, le médecin m’a dit : « Félicitations ! Les résultats de votre test du dernier mois ont montré qu’il y avait 1,7 milliard de virus dans chaque millilitre de votre sang, mais maintenant il n’y en a plus que 560 000. Le niveau d’infection est très réduit. En un seul mois, il est bon de réaliser un tel résultat ». A l’écoute de ces nouvelles, mon cœur s’est rempli de gratitude envers Dieu. Quand je ne doutais plus et ne comprenais plus mal Dieu à cause de ma maladie, Dieu m’a alors témoigné sa miséricorde et m’a permis de comprendre Sa volonté. J’ai vraiment fait l’expérience que le but de Dieu de permettre à la maladie de m’atteindre n’était pas de me révéler et de m’éliminer, mais de purifier et transformer ma nature satanique et de me permettre de compter sur sa parole afin d’abandonner toute ressemblance de l’homme.

Je me suis rappelé le passé quand j’ai eu cette maladie et le médecin ne savait pas comment la traiter. C’était la toute puissante main de Dieu qui m’a protégé et pris soin de moi et m’a permis de me sentir mieux. Lorsque dans la maladie je m’étais opposé à Dieu, Dieu ne m’a pas abandonné à cause de ma rébellion. Au contraire, il a eu de la sympathie pour ma faiblesse et a utilisé Sa parole pour me guider et m’éclairer à tout moment afin que je puisse comprendre Sa volonté et avoir foi pour faire face à un tel environnement. J’ai obtenu d’abondantes provisions et bénéficié de la grâce et de la bénédiction de Dieu. L’amour de Dieu est trop grand ! Aussi petite que soit ma stature, je suis prêt à me confier aux mains de Dieu, à rechercher correctement la vérité et à accomplir ma mission en tant que créature de Dieu pour rembourser l’amour que Dieu me porte dans le futur chemin de la vie.

Traduction par Wakam

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