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Témoignage chrétien : Être une personne honnête, c’est une grande joie

Dans la vraie vie, ces choses nous contrarient toujours. Par exemple, vous adressez quelques paroles négligentes à une personne, mais de manière inattendue, elle répond de manière froide. Il s’avère qu’elle a mal interprété vos propos. Puis vous faites vite de vous expliquer, mais en vain. Autre exemple, une amie vous traite soudainement avec froideur. Alors que vous vous demandez ce qui s’est passé, une autre amie vous informe que ce que vous avez dit il y a quelques jours l’a amenée à penser que vous aviez l’intention de la tourner en ridicule. À l’écoute de cela, vous allez vous écrier : « Elle me fait une injustice ! Je n’avais pas du tout cette intention. Comment a-t-elle pu mal interpréter mes propos de cette manière ? Comme elle est bornée ! » À ce moment, vous devez vous sentir triste, impuissante, et n’y rien pouvoir.

Les locuteurs et allocutaires peuvent se sentir furieux et bouleversés, alors que les spectateurs concluront calmement « Le locuteur ne le pense peut-être pas, mais l’allocutaire le prend à cœur. » Pourquoi l’allocutaire rumine-t-il sur les paroles que le locuteur a dites par hasard ? Pourquoi réfléchissons-nous toujours secrètement sur quelques paroles qu’une personne à prononcées, devinons ses intentions et rendons les choses difficiles pour elle ? En fait, j’ai également été une allocutaire sensible dans le passé. Je méditais sur quelques mots ordinaires qu’une personne prononçait à mon égard : Que veut-elle dire par ces mots ? Me méprise-t-elle ? Me tourne-t-elle en ridicule ? Par exemple, une collègue m’a dit une fois « Tu as l’ai différente avec cette robe aujourd’hui ! » Alors je me suis dit : « Qu’entends-tu par-là ? Serait-ce parce que je suis mal dans cette robe ? Est-ce un compliment ou une moquerie à mon égard ? » Autre exemple, j’ai une fois eu une discussion avec mes collègues au sujet des voyages. Je leur ai dit : « Il n’y a rien d’intéressant à Hakone en dehors de plusieurs sources chaudes ». Une collègue m’a demandé alors avec surprise : « Tu as également été à Hakone. As-tu voyagé pour Hakone ou y résidais-tu ? » À ces mots, je m’étais senti tellement vexée : Me regardes-t-elle de haut pensant que je n’ai pas les moyens de faire un voyage ? Alors je répondis avec mécontentement : « Un voyage. Pourquoi en faire des histoires ? » En un clin d'œil, l’atmosphère s’était transformé en tension. Juste comme ça, les paroles des autres m’ont toujours plongée dans une mauvaise humeur et parfois dans une crise de tristesse. De même, je m’inquiétais toujours des gains et des pertes personnels et n’étais pas dégagée. Et mes relations interpersonnelles en étaient également affectées. Je ne voulais pas être ainsi. Mais je perdais toujours le contrôle de mes pensées à chaque fois que je faisais face à une situation. J’en étais très troublée.

Jusqu’au jour où j’ai lu un passage d’un livre : « Je me délecte en ceux qui ne se méfient pas des autres et J’aime beaucoup aussi ceux qui acceptent volontiers la vérité ; envers ces deux genres de gens, Je manifeste une grande sollicitude, car, à Mes yeux, ce sont des gens honnêtes. Si tu es malhonnête, alors tu seras méfiant et suspicieux à propos de tous les gens et de toutes choses. »

J’ai commencé à réfléchir sur moi-même pour voir si j’étais la personne sournoise dont Dieu parle. Quand j’entendais des paroles ordinaires, je les analysais dans un autre sens ; quand quelqu’un exprimait directement les paroles dans son cœur, j’analysais et devinais toujours s’il y avait d’autres significations dans ses propos et s’il me rabaissait ou se moquait de moi. J’utilisais toujours des petites idées pour évaluer de meilleures, et je me sentais donc parfois triste. Aussi, J’avais même des préjugés, de l’envie et de la haine envers les autres. En pensant à ces comportements, j’ai réalisé que je vivais par les poisons de Satan de : « Comme un arbre a besoin de son écorce, un homme a besoin de son visage ». Je me souciais toujours de ce que les autres pensaient de moi. À chaque fois que j’entendais des choses qui me faisaient perdre la face, je me méfiais de celui qui parlait, de plus je lui donnais ma figure mécontente. Par conséquent, je blessais ceux qui m’entourent. Pendant ce temps, personnellement, je souffrais aussi terriblement et j’étais incapable de me confier en quelqu’un. N’était-ce pas parce que je me concentrais trop sur mon image et à cause de ma nature sournoise ? C’est alors que j’ai réalisé que : Lorsque nous nous entendons bien avec les autres, nous avons toujours des préjugés contre eux et nous nous éloignons d’eux à cause d’une phrase ordinaire, pensant que leurs paroles ont des significations cachées et que c’est eux qui nous embarrassent, et certains amis se retournent même les uns contre les autres et ne sont plus jamais en contact les uns avec les autres. Tout ceci c’est parce que nous accordons trop d’importance à notre image et nous sommes enclin aux soupçons des autres. J’ai fini par trouver la racine du problème « Une parole inconsciente peut révéler beaucoup à un allocutaire attentif ».

J’ai réfléchi sur ces paroles : « Je me délecte en ceux qui ne se méfient pas des autres et J’aime beaucoup aussi ceux qui acceptent volontiers la vérité ; envers ces deux genres de gens, Je manifeste une grande sollicitude, car, à Mes yeux, ce sont des gens honnêtes. » Puis j’ai pensé aussi aux paroles que le Seigneur Jésus nous a enseignées : « Que votre parole soit oui, oui, non, non ; ce qu’on y ajoute vient du malin » (Mathieu 5:37). À partir de ces paroles, j’ai vu l’importance d’être une personne honnête. Dieu est fidèle, alors Dieu aime que nous soyons honnêtes. Seule une personne honnête a une véritable image de l’Homme. Une personne honnête est aussi candide qu’un enfant, appelle un chat un chat, et est franche et sincère. De plus, elle ne vit pas pour son apparence ou pour la vanité, ne doute pas des autres et ne spécule pas à leur sujet à volonté. Elle s’entend facilement avec ceux qui l’entourent et est appréciée au milieu d’eux. À travers les diverses situations de la vie quotidienne qui nous arrivent, Dieu nous met à l’épreuve pour voir si nous pouvons obéir à Sa parole. Je me suis donc résolu secrètement dans mon cœur : « Je suis prête à mettre en pratique le fait d’être une personne honnête selon les exigences de la parole de Dieu.

Un jour, à l’heure du déjeuner, ma collègue a regardé le plat (carottes sautées avec des fèves germées) dans mon bento et m’a dit : « Les carottes se vendent-elles à bas prix maintenant ? » À l’écoute de ses paroles, j’ai pensé : « Que veut-elle dire par ces mots ? Pense-t-elle que je suis pauvre au point de ne pas pouvoir m’acheter des légumes coûteux parce que j’improvise généralement les repas ? Rit-elle de moi ? J’étais un peu fâchée. Cependant, quand j’ai changé d’avis et pensé à la parole de Dieu, j’ai réalisé que je révélais mon tempérament sournois par souci de mon image. Elle m’avait juste demandé par hasard si les carottes se vendaient à bas prix. Oui, c’est oui, et c’est bien que je lui réponde honnêtement. Pourquoi est-ce que j’interprète ses intentions ? » J’ai été libérée à cette pensée et j’ai répondu doucement, « Oui ! » Puis ma collègue a poursuivi plaisamment : « Il fait froid cet hiver. La plupart des légumes se vendent cher, mais les carottes peuvent résister au froid... »

Par la suite, j’ai réfléchi au changement de mes pensées quelques minutes avant. Mon cœur était plein de gratitude envers Dieu : « Ô Dieu, s’il n’y avait pas eu tes instructions, j’aurais vécu par mon tempérament sournois à mal comprendre les paroles de ma collègue dans le but de sauver mon image. Dans ce cas, non seulement j’aurais été triste et je n’aurais pas été libérée, en conséquence, cela m’a conduit à me méprendre sur les intentions d’elle et ai eu des préjuges, cela aussi lui aurait fait du mal. À cette pensée, j’avais un peu un sentiment de douceur dans mon cœur. Sous la direction de Dieu, je suis libérée et libre, et je ne me méfie plus des intentions et des motifs derrière les paroles des autres. »

Traduction par WILLIAM RODEL NDIEU ESSOH

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