Paroles de Dieu quotidiennes : Connaître Dieu | Extrait 69
À travers l'étendue du travail que le Seigneur Jésus a réalisé durant l'ère de la Grâce, tu peux voir un autre aspect de ce que Dieu a et est. Cet aspect fut exprimé par Sa chair et il fut possible pour les gens de le voir et de l'apprécier par Son humanité. Dans le Fils de l'homme, les gens ont vu comment Dieu dans la chair vivait Son humanité et ils ont vu la divinité de Dieu exprimée par la chair. Ces deux genres d'expression permirent au peuple de voir un Dieu très réel et de se former un concept différent de Dieu. Toutefois, dans la période de temps entre la création du monde et la fin de l'ère de la Loi, c'est-à-dire avant l'ère de la Grâce, ce que les gens ont vu, entendu et vécu était seulement l'aspect divin de Dieu. C'était ce que Dieu faisait et disait dans un domaine immatériel et aussi les choses qu'Il exprimait de Sa vraie personne, qui ne pouvaient être vues ou touchées. Souvent ces choses faisaient que les gens pensaient que Dieu était si grand qu'ils ne pouvaient s'en approcher. L'impression que Dieu donnait habituellement aux gens est qu'Il vacillait et les gens sentaient même que toutes Ses pensées et Ses idées étaient si mystérieuses et insaisissables qu'il n'y avait aucun moyen de les atteindre et encore moins de tenter de les comprendre et de les apprécier. Pour les gens, tout ce qui concernait Dieu était très lointain, si lointain qu'il ne pouvait pas le distinguer, ne pouvait pas le toucher. Il semblait qu'Il était haut dans le ciel et il semblait qu'Il n'existait pas du tout. Ainsi pour les gens, comprendre le cœur et l'esprit de Dieu ou n'importe laquelle de Ses pensées était irréalisable et même inaccessible. Même si Dieu réalisa une certaine œuvre concrète pendant l'ère de la Loi et s'Il prononça aussi quelques paroles particulières et exprima des tempéraments spécifiques pour permettre au peuple d'apprécier et de percevoir une véritable connaissance de Lui, quand même, finalement, c'était l'expression de Dieu de ce qu'Il a et est dans un domaine immatériel, et ce que les gens comprenaient, ce qu'ils savaient avait toujours à voir avec l'aspect divin de ce qu'Il a et est. L'humanité ne pouvait acquérir un concept concret de cette expression de ce qu'Il a et est, et leur impression de Dieu restait figée dans le cadre d'« Esprit dont il est difficile de s'approcher et qui vacille ». Parce que Dieu n'utilisa pas un objet spécifique ou une image du domaine matériel pour apparaître aux hommes, ils ne pouvaient toujours pas Le définir en langage humain. Dans leur cœur et leur esprit, les gens voulaient toujours employer leur propre langage pour établir une norme pour Dieu, pour Le rendre tangible et L'humaniser, par exemple : quelle taille fait-Il, quelle corpulence a-t-Il, à quoi ressemble-t-Il, qu'aime-t-Il en particulier et quelle est Sa personnalité spécifique. En fait, dans Son cœur, Dieu savait que les hommes pensaient ainsi. Il connaissait très bien les besoins des gens et, bien sûr, Il savait aussi ce qu'Il devait faire, donc Il accomplit Son œuvre de manière différente durant l'ère de la Grâce. Cette façon était à la fois divine et humanisée. Durant la période où le Seigneur Jésus œuvrait, les gens purent se rendre compte que Dieu avait beaucoup d'expressions humaines. Par exemple, Il pouvait danser, Il pouvait assister aux mariages, Il pouvait communier avec les gens, leur parler et discuter de choses avec eux. En plus de cela, beaucoup de l'œuvre aussi que le Seigneur Jésus accomplissait exprimait Sa divinité et, bien sûr, toute cette œuvre était une expression et une révélation du tempérament de Dieu. À cette époque, quand la divinité de Dieu était réalisée dans une chair ordinaire que les gens pouvaient voir et toucher, ils n'avaient plus le sentiment qu'Il vacillait, qu'ils ne pouvaient pas s'approcher de Lui. Au contraire, ils pouvaient tenter de saisir la volonté de Dieu ou de comprendre Sa divinité par chaque mouvement, par les paroles et l'œuvre du Fils de l'homme. Le Fils de l'homme incarné exprimait la divinité de Dieu par le biais de Son humanité et transmettait la volonté de Dieu au genre humain. Et par l'expression de la volonté de Dieu et de Son tempérament, Il révéla aussi aux gens le Dieu qui ne peut pas être vu ou touché dans le domaine spirituel. Ce que les gens ont vu est Dieu Lui-même, tangible, avec de la chair et des os. Ainsi le Fils de l'homme incarné fit de la propre identité de Dieu, de Son statut, de Son image, de Son tempérament et de ce qu'Il a et est des choses concrètes et humanisées. Même si l'apparence extérieure du Fils de l'homme avait quelques limitations au regard de l'image de Dieu, Son essence et ce qu'Il a et est étaient tout à fait capables de représenter l'identité propre de Dieu et Son statut. Il y avait seulement quelques différences dans la forme de l'expression. Peu importe s'il s'agissait de l'humanité du Fils de l'homme ou de Sa divinité, nous ne pouvons pas nier qu'Il représentait l'identité propre de Dieu et Son statut. Pendant ce temps, toutefois, Dieu travaillait par la chair, parlait du point de vue de la chair et se tenait face au genre humain avec l'identité et le statut du Fils de l'homme ; cela donnait aux gens l'opportunité de rencontrer et de vivre les vraies paroles et l'œuvre véritable de Dieu parmi les hommes. Cela permettait aussi aux gens d'acquérir une idée de Sa divinité et de Sa grandeur en toute humilité, ainsi que d'obtenir une compréhension préliminaire et une définition préliminaire de l'authenticité et de la réalité de Dieu. Même si l'œuvre accomplie par le Seigneur Jésus, Ses manières de travailler et la perspective à partir de laquelle Il parlait différaient de la vraie personne de Dieu dans le domaine spirituel, tout Le concernant représentait véritablement Dieu Lui-même que les humains n'avaient jamais vu auparavant : cela ne peut être nié ! Cela veut dire que peu importe dans quelle forme Dieu apparait, peu importe à partir de quelle perspective Il s'exprime ou à dans quelle image Il se présente à l'humanité, Dieu ne représente que Lui-même. Il ne peut représenter aucun humain. Il ne peut représenter aucun humain corrompu. Dieu est Dieu Lui-même et cela ne peut être nié !
– La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même III