21,481 |26 janvier 2019
Li Ming’ai, qui est chrétienne, vit en Chine continentale. Elle est d’une grande droiture, elle respecte ses beaux-parents, aide son mari et assure l’éducation de son enfant au sein d’une famille heureuse et harmonieuse. Cependant, l’athéisme règne en Chine et le gouvernement communiste procède continuellement à des arrestations et à des persécutions brutales contre tous les croyants. En 2006, Li Ming’ai a été arrêtée et condamnée à une amende en raison de sa croyance en Dieu. Après son retour, la police communiste chinoise est souvent revenue menacer et intimider Li Ming’ai et sa famille tout en cherchant à la dissuader de croire en Dieu. Un jour, alors que Li Ming’ai tenait une réunion à l’extérieur, elle a été dénoncée par un informateur. La police s’est rendue chez Li Ming’ai pour l’arrêter. Elle s’est retrouvée obligée de fuir, et cela a été pour elle le début d’une longue cavale. La police communiste ne la lâche pas pour autant, elle place sa maison sous surveillance et attend l’occasion de l’arrêter. Un soir, Li Ming’ai revient discrètement chez elle pour revoir sa famille, mais presque immédiatement, la police se précipite pour l’arrêter. Heureusement, quelqu’un la prévient et elle échappe à la catastrophe.
Trois ans plus tard, Li Ming’ai, pratiquant toujours sa foi et accomplissant ses obligations loin de chez elle, est suivie, puis arrêtée par la police communiste. Au commissariat, les policiers se livrent à des actes de torture et à des traitements inhumains à l’encontre de Li Ming’ai et exploitent son attachement à sa famille pour tenter de l’appâter. Ils profèrent une série de menaces, comme interdire à son fils d’aller à l’école et lui barrer l’accès éventuel à des métiers au sein du gouvernement, afin de la contraindre à abandonner sa foi en Dieu, à trahir les dirigeants de l’Église et à révéler les finances de l’Église. Pendant son arrestation, Li Ming’ai prie et place sa foi en Dieu. La parole de Dieu l’éclaire et la guide. Elle subit des actes de torture et de barbarie infligés par la police communiste, elle discerne clairement les manœuvres de Satan et se résout à ne pas trahir Dieu. Sa foi demeure inébranlable. L’interrogatoire de la police communiste demeure infructueux et plonge les officiers dans la honte et la colère. Ils conduisent alors Li Ming’ai, revêtue d’une tenue de prisonnier, dans son village où elle est contrainte de défiler sous les regards de tous. Il s’agit pour eux de la couvrir de honte et de convaincre ainsi sa famille à l’inciter à trahir Dieu et l’Église. Li Ming’ai est exaspérée par la manière dont les communistes chinois rendent sa croyance en Dieu responsable des difficultés de sa famille. Remplie d’une indignation vertueuse, Li Ming’ai expose à la lumière la réalité maléfique des arrestations et des persécutions des chrétiens par le gouvernement communiste chinois. Elle accuse le gouvernement communiste chinois d’être le véritable destructeur des familles chrétiennes, le criminel suprême qui frappe le peuple de toutes sortes de calamités. Ainsi, elle parvient à faire succomber les communistes chinois dans une défaite totale et honteuse.